Elle ne voulait pas aller en Chine, mais le Seigneur lui a dit qu’elle devait y aller. Et alors ?

« TU AS MON PLEIN OUI, SEIGNEUR ! »

Dieu nous parle et nous devons développer une oreille attentive et reconnaître sa voix. Nous devons lui faire confiance et agir sur ce que nous entendons. Mais que faites-vous quand Dieu vous parle? Vous trouvez-vous le rejeter quand il semble trop insondable? Ou lui obéissez-vous même si cela semble impossible ?

Sœur G, l’une des missionnaires des IT en Chine, avait été équipée par le Seigneur avant d’être conduite à International Teams Philippines, une organisation d’envoi missionnaire. Alors qu’elle cherchait le Seigneur pour son chemin de foi, les autres lui demandaient souvent si elle voulait aller en Chine, car il y avait tellement de gens qui n’y étaient pas. Elle n’aimait pas aller en Chine au début, mais le Seigneur lui a dit qu’elle devait partir. C’était une lutte pour elle, mais elle s’est rendue à la volonté de Dieu. Puis, elle a été présentée aux IT par ses camarades d’église. C’était une réponse à sa prière alors qu’elle priait pour une organisation qui pouvait la conduire à aller en mission.

En 2001, Sis G a commencé sa formation des IT,Access 1, et tout a été mis en marche. Au moment où elle a dit oui au Seigneur, le processus d’aller sur le terrain de la mission s’est bien déroulé. Après la formation, Sis G a décidé de poursuivre une mission à long terme en Chine. Grâce aux Équipes Internationales des Philippines, Dieu a ouvert la porte à Sœur G pour qu’elle aille en Chine. Elle savait dans son cœur que Dieu l’avait appelée là-bas. Elle a été affirmée par Dieu de tant de façons et même dans ses rêves, et elle a dit à Dieu : «Tu as mon plein oui, Seigneur!». Aller en Chine semblait si difficile à ce moment-là, mais Soeur G a mis son cœur à aller pour elle croyait que Dieu l’appelait à y aller.

Lorsque Sis G est arrivée en Chine, elle a étudié la langue chinoise dans une université du sud-ouest de la Chine parce qu’elle savait combien il est important de communiquer avec les habitants puisque l’anglais n’était pas largement utilisé par beaucoup. Au cours de sa deuxième année en Chine, elle a pu enseigner dans un centre linguistique. Aussi, elle et ses autres amis ont eu l’occasion de mettre les autres au défi de poursuivre l’appel de Dieu. Une sœur dans la foi est venue à elle et lui a dit au sujet de l’appel de Dieu il y a des années, mais elle n’a pas encore répondu. Elle a déjà sa propre famille et des enfants à prendre en charge, il lui semblait donc impossible d’aller en mission, mais au fond de son cœur, elle savait que Dieu l’appelle à faire partie de la grande commission. Sœur G qui a eu le même dilemme dans le passé l’a encouragée que répondre à l’appel de Dieu est la chose la plus gratifiante à faire et qu’il n’y a rien à craindre parce que c’est le Seigneur qui fournira et fera un chemin une fois que nous lui obéissons.

Puis en 2008, les choses étaient un peu difficiles pour Sis G financièrement car elle n’avait aucun soutien de l’église, et elle vivait par la foi. À ce moment-là, Dieu lui a demandé d’étudier la langue chinoise et les frais de scolarité ont coûté 1000 $ pour un semestre. L’économie était mauvaise à l’époque, mais elle ne perdit pas foi et pria avec ferveur. Sœur G faisait partie d’un groupe de prière dans lequel elle rencontrait souvent d’autres croyants. Mais il fut un temps où on a demandé à Sis G de s’occuper des enfants. Par conséquent, elle ne pouvait pas rejoindre le groupe de prière, donc sa demande de prière leur a juste été transmise.

Le lendemain, une des personnes qui a assisté au groupe de prière appelé Sis G. Sis G ne la connaissait pas bien parce qu’elle n’était présente qu’à ce moment-là. Elle a obtenu le numéro de téléphone de Sis G de son ami et lui a demandé s’il y avait une banque à proximité chez Sis G. On lui a demandé de se retrouver à la banque. C’était déroutant pour Sis G de savoir pourquoi ils devraient se rencontrer à la banque. Quand elle est arrivée à la banque, on lui a demandé combien étaient ses frais de scolarité et on lui a donné sans autre enquête. Sœur G était si bouleversée et l’a remerciée, à laquelle elle a répondu : « Ne me remercie pas, remercie le Seigneur. C’est le Seigneur qui l’a donné. » C’était vraiment de Dieu, car Sœur G ne savait pas que la femme personnellement, mais le Seigneur a touché son cœur pour payer les frais de scolarité de 1000 $ de Sœur G. Elle a été submergée par la provision de Dieu et Le loua grandement pour cette expérience étonnante!

Ce n’était qu’une des bénédictions que Sis G a reçu de Dieu au moment où elle a obéi à l’appel de Dieu. Pendant les années qu’elle a passées en Chine, elle a fait l’expérience des miracles que Dieu a faits pour elle. En retour, elle est devenue un canal de bénédictions pour les autres et un phare de lumière et d’espérance alors que sa vie rayonne de l’amour de Dieu.

Louez Dieu qu’Il est amour et que, grâce au sacrifice de Jésus, vous savez à quoi ressemble l’amour. Il est le même hier, aujourd’hui et pour toujours, et Il est votre solide Rocher, votre Forteresse, votre Sauveteur, votre Bouclier, la force de votre salut, et votre lieu de sécurité. Il n’y en a pas comme Lui !

1 Pierre 4:10-11.

Chacun de vous devrait utiliser le don que vous avez reçu pour servir les autres, en tant que fidèles intendants de la grâce de Dieu sous ses diverses formes. Si quelqu’un parle, il devrait le faire comme quelqu’un qui parle les paroles mêmes de Dieu.

(Traduit par: Pasteur Yav Tshishind a Mbav)