Comme j'ai promis, je l'ai trouvé en Grèce après plus de 10 ans par miracle.

DIEU REND L'IMPOSSIBLE POSSIBLE

Avant de quitter les Philippines, le Pasteur Andro Baller, un de nos missionnaires ITP en Europe, a promis à sa marraine, qui a demandé une faveur pour chercher son fils qu’elle n’a pas vu depuis plus de 10 ans, de le chercher une fois que lui et sa femme seront à Athènes, en Grèce. C’était le dernier endroit connu du fils de sa marraine, Eugene, qui était marin à l’époque.

Après le voyage de mission du couple en Albanie, ils sont sur le point de se lancer dans une nouvelle aventure où il semblait si impossible en aucune façon que vous essayez de le regarder. C’est comme trouver une aiguille dans une botte de foin. Les chances de trouver quelqu’un qui a été hors réseau pendant plus de 10 ans sans médias sociaux, sans adresse exacte, sans numéro de téléphone, et dans un pays où vous ne connaissez personne est vraiment faible. Ils sont aussi pressés par le temps parce qu’ils n’ont qu’une semaine pour le trouver. Cela ressemble à une « mission impossible », mais notre Dieu est celui qui peut rendre l’impossible possible si nous mettons notre foi en Lui.

Leur mission en Albanie a été une grande bénédiction pour les habitants de là-bas et ils ont rencontré une Albanaise dans le cadre de leur programme de café et sont devenus de bons amis. Ils avaient prévu d’aller en Grèce par la foi, ce qui signifie qu’ils n’avaient ni l’argent ni aucune connaissance en Grèce et un endroit où rester, mais le pasteur Andro et sœur Ruth ont décidé d’aller de l’avant. Puis un jour, leur amie albanaise a insisté pour fournir leur billet et leur a même dit qu’ils peuvent contacter sa sœur qui est en Grèce une fois qu’ils arrivent là-bas. Vous voyez, Dieu peut utiliser n’importe qui et n’importe quoi pour Ses enfants qui sont confiants de faire ce pas de foi. Ils ont réussi à échanger des messages avec la sœur de leur ami qui va les récupérer à 17h pile,

quand ils arrivent le lendemain à Athènes. C’est le 20 mars de l’année dernière qu’ils ont dû voyager toute la journée et le point de repère qui leur a été donné comme point de rencontre était un café, mais ils n’ont pas pu le trouver et ils se sont tellement inquiétés qu’ils ne pourraient pas le faire à temps parce qu’on leur a dit de se rencontrer à 17 h exactement. Ils ont tourné en rond pour trouver le café, qui était convenu d’être le point de rencontre, et ils manquaient de temps [...] il était presque 17 heures. « Allons-nous la trouver? » se demandaient-ils. La raison pour laquelle ils ne pouvaient pas trouver le café était que le nom était écrit en lettres grecques et que ce qui leur était donné était en anglais. Le Pasteur Andro était inquiet que s’ils ne trouvaient pas le café, la sœur de leur ami albanais pourrait partir. Il a commencé à se sentir découragé par la pensée qu’ils n’ont que 150 euros : «Si nous ne pouvons pas la trouver, où allons-nous dormir?L’hôtel coûterait 50 euros juste pour une nuit et comment trouverons-nous le fils de ma marraine tout seul? » Des millions de questions ont commencé à surgir dans ses pensées. Puis, soudainement, il a jeté un coup d’œil et a vu qu’une femme s’approchait de lui qui venait de partir d’où elle se tenait : « Est-ce vous que j’attends? Elle demanda. Enfin, ils se rencontrèrent! Une fraction de seconde et ils se seraient manqués.

Ils ont voyagé à une autre ville nommée Glyfada qui est à 30 minutes d’Athènes en train. Quand ils sont arrivés à Glyfada ils sont restés dans une église. Dans l’église ils restaient ils ont mentionné qu’ils ont seulement une semaine en Grèce pour trouver le fils de sa marraine mais ils n’ont que le nom. Le pasteur a offert de les aider à le chercher le lendemain, ils ont continué à le chercher, et chaque fois qu’ils sont sortis, le pasteur Andro a continué à chercher des Philippins pensant que l’un d’eux pourrait être Eugène. Ils sont pressés par le temps, mais lorsqu’ils marchent tous les matins sur la côte de Glyfada, ils prient Dieu et lui demandent où ils doivent aller, puis un matin ils prient : «Nous ne savons pas où il est, mais j’espère que vous allez nous l’amener».

Trouver la personne qui pourrait être n’importe où en Grèce est vraiment une longue chance. Google et Internet n’ont pas été en mesure d’aider un peu. Quelques jours se sont déjà écoulés, et ils ont continué à chercher. Puis un jour, ils ont eu une réunion de prière dans l’église et tous les membres se sont réunis. Le Pasteur Andro et Sœur Ruth leur ont expliqué pourquoi ils sont en Grèce et ont demandé aux membres si quelqu’un avait entendu le nom « Eugène Decena ». Un député a dit : « Je crois que je connais Eugene, n’est-ce pas celui qui a sauté du navire? Il a assisté à quelques reprises à notre église il y a plusieurs années. » Le pasteur Andro lui a montré sa photo pour confirmer qu’ils font référence à la même personne. Et tous les membres avaient la chair de poule en entendant que c’était bien Eugène. « Nous ne pouvons pas faire ce que vous faites », ont-ils étonnamment remarqué en entendant toute l’histoire de leur mission.

Le lendemain, le pasteur les accompagna dans la ville où se trouvait Eugène. Ils lui ont parlé du désir de ses parents et de ses proches de savoir qu’il est vivant et en sécurité et ont même eu l’occasion de le conseiller et de partager l’amour de Jésus avec lui. Ils sont partis encore en admiration à la réunion divine. C’est étonnant comment Dieu a tout orchestré! Ils ont eu la chance de le rencontrer avant de devoir partir

Tout le monde dans l’église était tellement étonné par leurs témoignages et ils ont trouvé les missions du Pasteur Andro et de Sœur Ruth stupéfiantes et même offert de les soutenir. Il n’y a rien comme notre Dieu qui puisse rendre l’impossible possible !

Luke 18:27 Mais il a dit : « Ce qui est impossible avec les hommes est possible avec Dieu. »

(Traduit par : Pasteur Yav Tshishind a Mbav)